Logement étudiant & JO 2024 : comment trouver un logement ?

Chaque année, plus de 60 % des nouveaux bacheliers quittent le domicile familial pour poursuivre leurs études. En 2024, près de 3 millions d’étudiants ont commencé leurs études supérieures. Dans un marché immobilier locatif déjà tendu, l'organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024 vient renforcer les craintes sur la difficulté des étudiants à trouver un logement pour leurs études, notamment dans les grandes villes en France. Studapart, 1ère plateforme de logement étudiant en France, vous aide à trouver un logement étudiant avec les JO

 

De moins en moins de logements chaque année

 

Depuis plusieurs mois, des associations soulèvent les impacts négatifs des Jeux Olympiques sur les étudiants en Île-de-France, notamment l'augmentation des coûts de transport et la réquisition de résidences universitaires. Pierre-Louis Monteiro de l'ADIL 75 et Jacques Baudrier de la mairie de Paris notent une diminution continue des logements locatifs privés, avec une perte annuelle d'environ 8 000 logements à Paris ces 10 dernières années. 

 

Ces logements sont souvent convertis en résidences principales ou secondaires, ou destinés à la location touristique, ce qui réduit l'offre disponible pour les étudiants qui cherchent principalement des petits espaces meublés. Bien qu'il soit difficile de déterminer si les JO exacerbent cette situation, l'ADIL observe depuis septembre 2023 une augmentation des consultations juridiques dues à des congés émis par les propriétaires pour des motifs souvent non respectés. En conséquence, 30 % des étudiants doivent déménager et peinent à retrouver un logement étudiant avec les JO, sur un marché de plus en plus saturé.

 

Près de 1000 étudiants ont été contraints de quitter leur logement Crous

 

En réponse à la réquisition de 12 résidences Crous en Île-de-France pour les Jeux Olympiques de Paris, 978 étudiants ont été relogés dans d'autres résidences universitaires de la région. Bénédicte Durand, présidente du Centre national des Œuvres universitaires et scolaires, a confirmé que ces étudiants (parmi les 3 000 habituellement logés dans ces résidences) ont été déplacés avant l'été. 

 

Cette opération a été complexe, s'étendant de mi-avril à fin juin, avec 17 vagues de déménagements. Cette période a coïncidé avec les examens et a donc été source de stress pour les étudiants concernés. En compensation, les étudiants déplacés ont reçu une indemnité de 100 euros et deux billets pour des événements olympiques. Les résidences Crous, utilisées pour loger temporairement du personnel tel que pompiers et soignants, sont souvent partiellement inoccupées pendant l'été, avec environ 30 % des chambres vides chaque année.

 

La roue tourne-t-elle pour l’effet JO ?

 

L'effet JO, couramment observé dans les villes hôtes des Jeux Olympiques, implique souvent un changement temporaire des stratégies de location par les propriétaires. Anticipant un afflux massif de visiteurs, nombreux sont ceux qui optent pour des locations à court terme, espérant maximiser leurs revenus en louant leurs biens à la semaine à des tarifs élevés. Cependant, cette stratégie ne se traduit pas toujours par les bénéfices attendus.

 

En effet, malgré les attentes, certains propriétaires ont fait face à une réalité différente : les locations hebdomadaires ne se remplissaient pas comme prévu. Les raisons peuvent être multiples, allant d'une offre excédant la demande à des prix trop élevés, dissuadant les visiteurs. Face à cette situation, un réajustement s'impose pour beaucoup. Plutôt que de continuer à chasser le profit (rapide mais incertain) des locations à court terme, ces propriétaires choisissent de revenir à des locations à plus long terme.

 

Ce retour aux baux traditionnels peut être vu comme un réalignement avec le marché locatif plus stable et prévisible. Les locations longue durée offrent une sécurité financière plus constante grâce à des revenus locatifs réguliers et moins de vacance locative, une solution plus sûre dans le contexte post-Jeux Olympiques où la demande de logement temporaire chute drastiquement une fois l'événement terminé.

 

Studapart et ses partenaires s’engagent pour assurer un logement à chaque étudiant pour la rentrée scolaire

 

Forts de partenariats de parfois plus de 10 ans avec plus de 170 écoles et universités, Studapart a lancé une initiative qui repose sur 3 piliers. La charte d’engagement (co-signée entre autres par l’ESCP ou encore Skema Business School) stipule de leur engagement pour assurer un logement à leurs étudiants même pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024 et malgré le contexte immobilier tendu.

 

“Pour nous, il était évident de réserver des logements pour les étudiants de nos écoles partenaires, c’est notre engagement depuis 2012, d’améliorer l’accès aux logements de leurs étudiants, le contexte des JO ne fait que rendre notre service plus pertinent et important”, précise Amaury Roland, co-fondateur de Studapart.

 

Studapart et ses partenaires s’engagent donc à assurer un logement à chaque étudiant pour la rentrée scolaire, notamment via 3 leviers majeurs : 

  1. Pré-réservation des logements pour les étudiants : Studapart réserve des logements pour les étudiants prioritaires. Ce système (actif depuis 2018) assure une place aux étudiants identifiés comme prioritaires, avec plus de 6000 logements disponibles pour la rentrée 2024. Cela comprend des résidences gérées par la plateforme et des logements négociés avec des propriétaires.
  2. Augmentation du nombre de places en résidence étudiante : Studapart développe son offre dans les villes à forte tension locative, comme Nantes, Paris, Bordeaux et Lyon, avec plus de 4 500 nouveaux logements. Plus de 2 000 logements sont sous gestion totale de la plateforme, permettant une réactivité accrue pour loger les étudiants rapidement, surtout en vue des Jeux Olympiques.
  3. Lutte contre les abus des propriétaires : Studapart renforce ses règles pour protéger les étudiants contre les fraudes et annulations de dernière minute. Les nouvelles mesures incluent des remboursements, une re-location gratuite, et des sanctions pour les propriétaires fautifs. Une équipe de 60 personnes assure le respect des règles et la modération des annonces pour garantir des logements conformes et sécurisés pour les étudiants.

Studapart se distingue par son vaste choix avec plus de 180 000 annonces disponibles, offrant une grande diversité de logements adaptés aux besoins des étudiants. La simplicité et la rapidité du processus de réservation permettent de trouver un logement après les JO en quelques clics, réduisant le stress de la recherche. De plus, Studapart propose le service Profil Garanti, qui assure aux propriétaires des locataires fiables, sécurisant ainsi les transactions pour tous.

 

Logement étudiant JO : ce qu’il faut retenir

 

Alors que le marché immobilier locatif est déjà sous pression, l'arrivée des Jeux Olympiques de Paris en 2024 intensifie les défis pour les étudiants cherchant un logement dans les grandes villes françaises. Avec plus de 3 millions d'étudiants entamant leur parcours universitaire cette année, la demande pour des logements abordables et adaptés est plus élevée que jamais. Heureusement, Studapart se présente comme votre allié pour trouver un logement étudiant avec les JO !

 

Quel loyer pour un étudiant ?
D'après le site LocService, le loyer moyen pour un étudiant en France est désormais de 550 euros par mois, ce qui représente une augmentation de trois euros par rapport à l'année universitaire 2022-2023.
Quand commencer à chercher un logement étudiant ?
La recherche d'un logement étudiant pour la rentrée peut être un processus complexe et stressant. Pour vous donner suffisamment de temps pour visiter plusieurs logements et choisir celui qui répond le mieux à vos besoins, il est conseillé de commencer vos recherches dès le mois de mai.

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